Je n'ai rien ressentie, la page blanche... Indécrivable, un grand vide, comme si cette année là n'avait jamais existé. Pourtant, reste ce souffle, cette brise légère, légère, légère. Liberté? Évidement, ça a été dur pour moi au départ. Évidement, le regard des autres. Évidement je me disais, merde, c'était peut-être mieux? Évidement j'avais froid... Et puis la chaleur, nouveau regard, nouvelle sensation; j'ai finie par apprécier, vivre pleinement ces deux dernières années.
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